j'aimeras emprunté un très bon article publié sur le blog aix marseille libre que chacun connait. il a été publié par notre collègue mathieu, intervenant sur ce forum.
"On peut voir un superbe spot à la télé en ce moment, celui de LaHalle! où l'on peut voire des gens tout simplement embellir leur environnement. C'est simple, mais habile.
Les débats sur les changements/réchauffement/catastrophe climatiques prétendent pourtant tout l'inverse. Et si, contrairement à ce que laisse croire les écolos, c'était nous qui rendions le monde plus beau?
Un article paru récemment dans Times (http://www.timesonline.co.uk/tol/news/uk/science/article2195538.ece), qui n'est franchement pas reconnu pour être de la propagande libérale, fait état d'une étude scientifique sérieuse qui démontre que plusieurs innovations technologiques, dont la voiture, nous aident à réaliser un gain en émission de Co2; marcher jusqu'au boulot est donc plus polluant que d'utiliser sa voiture. Après un calcul complexe, le scientifique a déterminé que la culture des protéines nécessaires à régénérer les muscles après une telle promenade dégageait plus de Co2 que l'utilisation de la voiture.
Ainsi, on y apprend aussi qu'utiliser des serviettes de table jetable produit moins d'émissions de Co2, que l'on accuse de causer le réchauffement climatique, que d'utiliser des serviettes textiles, ou que manger bio est beaucoup plus néfastes pour l'environnement que de manger du 'régulier'. Les sachets papier ou textiles sont énormément plus polluants que leurs, maintenant défunt, ancêtres en plastique jetable. Que brûler les déchets de bois est meilleur pour le réchauffement climatique que de les recycler. Que les arbres, souvent présenté comme notre dernière chance de contrer le réchauffement climatique, sont en fait les plus grands producteurs de méthane, un gaz à effet de serre bien pire que le Co2...
Qu'on se passe le mot, le capitalisme et les innovations techniques qu'il est le seul à pouvoir nous apporter est la meilleure solution aux défis que semble nous réserver l'avenir, et ce sans même questionner l'existence du réchauffement climatique ou le rôle de l'activité humaine dans celui-ci."